lundi 18 novembre 2013

Sarah vale son premier avis !



C’est marrant comme la vie fait bien les choses parfois. L’autre jour j’étais dans le bus pour aller au ministère de l’intérieur… ah quel kiff, enfin bon je vous ai déjà parlé de ça, je m’égare là…
Je voulais donc prendre le bus et je me suis rendue compte que je n’avais plus d’espèce, il devait me manquer un peu plus d’un shekel pour atteindre le prix du ticket. Le chauffeur, à ma grande surprise, m’a donné un ticket avec ce que j’avais j’ai dû lui faire de la peine (merde, c’est plutôt inquiétant ça en fait)

Enfin bref, quelques minutes plus tard un contrôleur monte dans le bus, c’était la première fois de ma vie que j’en croisais un en Israël. C’est vrai qu’ici, au pays où on s’arrange avec la loi, (ben ouais les mecs après une heure du mat quand y’a plus de risque que la police passe, ils te laissent fumer dans les bars par exemple), on n’en croise pas tous les jours. J’ai donc eu de la chance… je me suis sentie comme « bénie » en quelque sorte, et je me suis dit qu’il me manquait plus qu’un grand beau gosse et que ma semaine, voire ma vie, serait refaite !


On avait dit quoi déjà ? Ah oui, ne pas chercher l’homme de sa vie comme on cherche un travail, ni ici, ni ailleurs…
Et donc comme je ne crois pas vraiment à la poursuite du job idéal, je me dis : y’a pas de dream job, y’a pas de dream boy (et voilà que je fais des rimes, comme c’est mignon)


Trêve de plaisanterie… en meme temps c’est pas comme si vous étiez partis dans un four rire délirant vu la qualité de ma prose en ce moment !

Hier, je relisais dans mon blog (ou parfois j’aime me lire, et alors ?) les postes concernant les mecs. Y’en a eu quelques-uns où j’abordais le sujet, et surtout il y a eu ce coup de gueule qui a défrayé la chronique et qui reste aujourd’hui le billet le plus lu et surtout le plus commenté.

C’est marrant parce qu’en le relisant, j’ai réalisé que mon point de vu avait changé. Déjà maintenant, ils s’appellent plus Jonathan, David ou Samuel, c’est plutôt Tomer , Avi et Oren… Mais bon y’a aussi Jonathan et ses copains. Mais je ne les vois plus comme des photocops, comme des mecs similaires qui auraient juste un prénom différents, je vois plus ça comme un ensemble, un peuple.

Certes il y a des mecs pas corrects, mais je me dis que c’est peut-être à nous (les meufs, pour ceux qui n’auraient pas compris) de les éviter. Ou plutôt c’est à nous de ne pas s’accrocher à un mot qu’on prendrait pour argent comptant. Ne pas s’emballer unilatéralement. Trop fait, jamais marché…Mais finalement, cette réflexion est valable partout, elle n’est pas vraie qu’en Israël.
Les mecs ne seraient donc pas tous des connards (mais y’en a hein, n’exagérons rien non plus). Grand découverte de la semaine …

Vous en pensez quoi vous ? Et vous les mecs, vous en dites quoi des meufs ? C’est toutes des connasses ? (sauf vos mères bien sur …)

Allez-y de votre petit commentaire, ça manque un peu sur le blog en ce moment, et vous ne le savez peut-être pas, mais même si je n’y répond pas, j’adore lire vos réactions ! Allez allez, à vos claviers !

2 commentaires:

  1. Ce qui est vraiment intéressant dans ta découverte c'est de voir que TU as changé :-)))
    Et tu as raison de faire écho avec ton article qui a fait couler beaucoup d'encre ^^ On sera vite d'accord pour dire que les mecs n'ont pas changé entre Sarah la casquette de octobre 2012 et Sarah vale son premier avis de novembre 2013 !!
    En revanche, il s'en est passé des choses pour Sarah vive des choses ;-))
    Finalement, qui nous dit que tu n'as pas desserré tes exigences ? Il y a un an, ton exigence a fait que tous les mecs étaient tous très cons et avec beaucoup d'expériences et "le temps qui passe" tu as peut être moins d'exigences ou d'autres "attentes" qui font que ces mêmes mecs sont devenus plus acceptables...
    La seule certitude que l'on a c'est qu'en un an, ces mêmes de mecs à l'origine de ton coup de gueule existent toujours !

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  2. Je n'ai pas d'a priori sur les femmes en général. Tout le monde vit avec son bagage, ses pensées, sa manière d'être. Aujourd'hui, je n'attends rien, j'évite juste les personnes que je dois "sauver", et je ne recherche que des personnes avec qui partager. Après que ce soit quelques minutes, quelques mois, quelques années, quelques vies, c'est lors des bons moments et les épreuves que l'on décidera...

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